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DÉLÉGATIONS : vous pouvez rencontrer les adjoints au Maire sur rendez-vous à la mairie. Rendez-vous sur /decouvrir/index.php CONTACT : pour contacter la mairie, connaître les adresses et numéros de téléphone, voir en bas de page LECTURE SONORE : sélectionnez le texte à lire puis cliquez sur le pictogramme ![]() |
RÉOUVERTURE DU service Archives ET PATRIMOINE CULTUREL Le service est de nouveau ouvert, sur rendez-vous, du lundi au vendredi de 13h30 à 17h30. L'inscription y est gratuite sur présentation d'une pièce d'identité en cours de validité, et les photographies sans flash des documents y sont autorisées. Contact : 01 41 19 83 48 - archivesdoc@bois-colombes.com |
Je cherche ![]() ![]() "Le blason de Bois-Colombes" 5 CIRCUITS PÉDESTRES POUR DÉCOUVRIR LA VILLE Téléchargeables ici ou à disposition dans les mairies. ![]() ![]() Quartier Nord 1 Quartier Nord 2 Quartier Centre 1 Quartier Centre 2 Quartier Sud LE CATALOGUE DE L'EXPOSITION "Quartier Nord : d'hier à aujourd'hui" ![]() Le catalogue de l'exposition DES DOCUMENTS sur... ![]() L'histoire des associations L'évolution du nom des rues DES FICHES INFO sur... ![]() L'hôtel de ville L'abri anti-aérien ![]() LE MÉMORIAL NUMÉRIQUE ![]() Le dossier de presse ![]() ![]() |
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![]() ![]() Conférence : les 3 filles de Colombes Noël, c'est le temps des histoires… Et à Bois-Colombes, on aime bien les histoires ! Alors, puisqu'en ces temps de confinement il convient d'user de stratagèmes pour pouvoir raconter, le service Archives de la ville a convié et filmé monsieur Christian Gallot dans ses locaux pour qu'il puisse nous partager son récit… Voici donc disponible sur boisco vidéo la belle histoire des trois filles de Colombes, conçue et racontée par Christian GALLOT… ![]() Renseignements : 01 41 19 83 48 - - archivesdoc@bois-colombes.com ![]() ![]() Les 125 ans de Bois-Colombes: partagez vos archives ! Dès maintenant -
Bois-Colombes fêtera ses 125 ans le 17 mars 2021. Le service Archives est à la recherche de photographies, cartes postales, œuvres d'art, etc. témoignant du passé de la ville. Des photos de famille prises dans une rue, des documents représentant des pavillons ou immeubles, des commerces, des bâtiments ou espaces publics permettant de documenter l'évolution du territoire depuis sa création en 1896 et la façon de vivre de ses habitants. Si votre famille est installée à Bois-Colombes depuis la fin du 19e siècle, ou si vous habitez une maison de cette époque, n'hésitez pas à contacter les Archives municipales. Renseignements : 01 41 19 83 48 - - archivesdoc@bois-colombes.com ![]() ![]() Le phénomène géocaching à Bois-Colombes ! Le géocaching est un jeu de piste numérique qui se pratique grâce à une application mobile sur smartphone et avec le GPS. Objectif : trouver les «géocaches» dissimulées un peu partout dans la commune ! Cette balade ludique dans Bois-Colombes, proposée par la Ville, vient compléter les circuits pédestres (voir colonne de gauche) et les promenades architecturale et touristique pour découvrir des lieux insolites ou disparus ou des anecdotes historiques tout en vous amusant en famille ou entre amis. A vous de jouer ! Pour partir à la découverte des «géocaches» de Bois-Colombes, il faut télécharger l'application «Géocaching» disponible et gratuite sur Apple Store (Iphone) et Play Store (Androïd). ![]() |
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Voir les reportages sur les journées du patrimoine 2019 : bois-colombes.com/2019/ex-09jourpat/reportage.php 2018 : bois-colombes.com/2018/ex-09jourpat/reportage.php 2017 : bois-colombes.com/2017/ex-09jourpat/reportage.php 2015 : bois-colombes.com/2015/ex-09jourpat/reportage.php 2014 : bois-colombes.com/2014/ex-09-jourpat/reportage.php 2013 : bois-colombes.com/2013/ex-jourpat/reportage.php 2012 : bois-colombes.com/2013/ex-jourpat/reportage.php ![]() |
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Un peu d'histoire... | ||||||||||||||||||||||||||
• 1850-1896 : le quartier du Bois de Colombes devient indépendant
![]() Le kiosque, place de la République (AMBC) ![]() Les élus du Bois de Colombes au conseil municipal de Colombes en 1892 (AMBC) Jusqu'au milieu du 19ème siècle, le Bois de Colombes est un quartier champêtre et presque inhabité de la ville de Colombes. Le premier de ces habitants est Auguste Thiéfine, cuisinier parisien, qui construit en 1843 une auberge appelée la villa Thiéfine, dans le secteur aujourd'hui compris entre la rue Paul-Déroulède, la rue des Bourguignons et la ligne de chemin de fer Paris-Saint-Germain-en-Laye. • La Première Guerre mondiale
![]() Une opération à l'hôpital de la clinique du Parc (AMBC). ![]() Les artistes et la Grande Guerre Téléchargement du catalogue de l'exposition... Après le départ des premiers conscrits, la ville accueille en septembre des régiments d'infanterie et d'artillerie qui, entre deux campagnes, séjournent pour quelques jours chez des particuliers ou dans les écoles Paul-Bert et Jules-Ferry. L'expérience sera renouvelée en novembre 1918. La ville participe à l'effort de guerre via l'accueil de réfugiés, les dons et les actions d'associations municipales ou de particuliers, ou encore l'organisation d'une Journée du poilu à partir de décembre 1915. En outre, Bois-Colombes possède deux hôpitaux militaires destinés à abriter les blessés évacués du front : le premier est installé à la clinique du Parc (actuelle rue Jean-Jaurès), le second dans les locaux de l'école Paul-Bert. Les hôpitaux fonctionnent grâce au concours de l'Association des Dames françaises (qui deviendra un secteur de la Croix-Rouge en 1940). A Bois-Colombes, la Première Guerre mondiale est aussi meurtrière que dans le reste de la France : 505 soldats bois-colombiens meurent au combat, dont près de la moitié entre 1914 et 1915. ![]() --- État des sources de Bois-Colombes sur la Première Guerre mondiale --- Reportage sur l'inauguration du mémorial numérique --- Dossier de presse sur le mémorial numérique • La Seconde Guerre mondiale et les bombardements de 1943
![]() L'usine Guerlain en partie détruite après les bombardements de 1943 (AMBC). sous la place de la République (sept 2013) Reportage en ligne et téléchargement du catalogue de l'exposition "Les Bois-Colombiens face aux bombardements de la guerre de 1939-1945" Cliquez pour découvrir le reportage ! Dès 1938, alors que la guerre approche, Bois-Colombes se prépare à affronter les bombardements. La ville est, en effet, une cible potentielle des Allemands, puisqu'elle accueille des entreprises susceptibles de participer à l'effort de guerre (Hispano-Suiza, SKF, etc.). Partout dans la ville, des abris sont aménagés dans des caves d'immeubles, afin de protéger la population en cas de bombardement ; en outre, la municipalité fait construire trois tranchées permettant d'abriter un grand nombre de personnes : une sous la place de la République, une sous l'actuel square Emile-Tricon, et la dernière sous l'actuelle place Jean-Mermoz. Entre 1940 et 1944, la ville est très souvent survolée par des bombardiers, d'abord allemands, puis alliés. En 1943, Bois-Colombes est atteinte par les bombes à trois reprises : le 9 septembre, le 15 septembre et le 31 décembre. C'est surtout le sud de la ville qui est touché : les quartiers des Vallées et des Bruyères déplorent de nombreuses destructions. Les abords de la place de la République sont également atteints. En plus des blessés, Bois-Colombes déplore 72 morts en 1943. • La deuxième moitié du XXe siècle
![]() Le percement de l'avenue Charles-de-Gaulle au début des années 1970 (AMBC). ![]() Remise de la clé de la ville par le maire de Bois-Colombes Emile-Tricon au maire de Neu-Ulm, le Dr Lang, en 1966 (AMBC). L'après-guerre voit les débuts de la reconstruction. Les ruines sont déblayées, et la plupart des bâtiments détruits par les bombardements sont reconstruits dans les années 1950.
Pour répondre à la crise du logement, de nombreux ensembles HLM sont érigés, comme le 38 rue Armand-Lépine (1960), le groupe Jean-Mermoz (1972) et le 101 rue Charles-Chefson (1986). C'est aussi l'époque de chantiers de voirie, le plus important étant la création de l'avenue Charles-de-Gaulle, ouverte à la circulation en 1973. La vie des Bois-Colombiens est marquée par plusieurs événements. Le 13 juin 1966, la cérémonie de jumelage entre Bois-Colombes et la ville bavaroise de Neu-Ulm est le point de départ d'une longue entente entre les deux villes, rythmée par de nombreux échanges et célébrations. Enfin, en mars 1996, Bois-Colombes fête son centenaire : cet anniversaire est l'occasion de nombreuses réjouissances, dont l'élection de la reine de Bois-Colombes, une ancienne coutume oubliée, à la salle Jean-Renoir. • Le début du XXIe siècle
![]() L'école La Cigogne (AMBC) Inauguration de la salle J.-Renoir (09/2011) En savoir plus Le voyage de la passerelle (09/2011) En savoir plus L'inauguration de la passerelle Saint-Germain (09/2011) En savoir plus Après le départ de l'entreprise Hispano-Suiza vers Colombes en 1999, le site de l'ancienne usine doit être reconverti, afin que le quartier puisse trouver une nouvelle identité. Les bâtiments d'Hispano-Suiza sont démolis en 2001, à l'exception de la soufflerie, dont des parties ont été inscrites à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques.
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![]() DES LIVRES POUR EN SAVOIR PLUS Ces ouvrages sont consultables au service Archives et Patrimoine culturel Asnières et Bois-Colombes à la Belle Epoque, JOUAN Lucienne L. Unal, 1987 Bois-Colombes et son histoire Ville de Bois-Colombes, 1995 Histoire de Bois-Colombes, QUÉNÉHEN Léon Le livre d'histoire, Paris, 2003 59 ans au service de Bois-Colombes, TRICON Emile Les amis d'Emile Tricon, 1998 Nouvelle histoire de Bois-Colombes : de Louis-Philippe à Charles de Gaulle 1845-1945, GALLOT Christian Bois-Colombes, C. Gallot, 2011 Le quartier nord s'étend de la rue Victor-Hugo à l'avenue d'Argenteuil, et de la rue des Bourguignons à la rue Cuny et à l'avenue de l'Agent ![]() Le centre-ville est délimité par les rues Paul-Déroulède, Henry-Litolff, Victor-Hugo et des Bourguignons. Il s'agit du noyau urbain le plus ancien de Bois-Colombes, qui comprend des bâtiments symboliques comme l'hôtel de ville ou l'église, mais aussi les principaux services publics et de nombreux commerces. Le quartier sud est compris entre la rue du Moulin-Bailly, l'avenue du Révérend Père-Corentin-Cloarec, la rue Pierre-Joigneaux, l'avenue Chevreul et l'avenue de l'Europe. Foyer d'industrialisation pendant tout le 20ème siècle, il a été très touché par les bombardements de 1943 et en grande partie reconstruit. Aujourd'hui, son activité économique s'oriente plutôt vers le tertiaire. Vous pouvez découvrir librement la ville grâce aux circuits pédestres téléchargeables ou à disposition au service Archives et Patrimoine culturel au sous-sol de la mairie. |
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![]() Quand Bois-Colombes s'anime Version 2
Cette animation, enrichie en 2018 pour les réunions publiques, présente la ville de Bois-Colombes de ses origines à aujourd'hui, en mettant en valeur la renaissance de la ville depuis 1996. Aménagement du quartier sud, rénovation du collège et aménagement d'une promenade verte au centre, et enfin rénovation du complexe sportif Albert-Smirlian et revalorisation du quartier nord.. c'est toute la ville qui a changé depuis 20 ans, et ce n'est pas fini ! Elaborée pour les réunions publiques d'information de 2017, cette animation enrichie en 2018 a été réalisée par Jérôme Lecomte (Storyboard, direction artistique et illustrations) et Géraldine Roquier (Motion design). ![]() |
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![]() ![]() --- livret "Hispano-Suiza: 100 ans d'une histoire commune"- 2014 ![]() --- livret "Visite de l'école La Cigogne" - 2009 --- livret "La soufflerie de l'usine Hispano-Suiza de Bois-Colombes" - 2004 |
Activités économiques à Bois-Colombes ![]() La ferme Pasteur au milieu du XXème siècle (AMBC). ![]() L'usine Hispano vers 1918 (AMBC). ![]() Les bureaux de l'entreprise Polak et Schwartz dans les années 1940 (AMBC). La ville a d'abord connu une activité agricole issue de son passé champêtre. En témoignent les anciennes fermes (rue Pasteur, rue Charles-Chefson), dont la dernière, rue Jean-Jaurès, a fermé ses portes en 1983, mais aussi les anciennes pépinières Le Blévenec, implantées rue Victor-Hugo tout au long du 20e siècle. Une activité industrielle marquée par Hispano-Suiza |
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Je cherche ![]() --- Fiche info sur l'hôtel de ville ![]() --- Livret de l'exposition "Histoire de passerelles" ![]() ---Livret "Les vitraux de l'église Notre-Dame de Bon-Secours de Bois-Colombes" ![]() ---Livret La salle Jean-Renoir ![]() ---Le plan architectural de la ville ![]() Ce plan existe en anglais et en espagnol : voir ici. |
![]() L'Hôtel de Ville au milieu du 20e siècle (AMBC). ![]() La place de la République et ses alentours au début du 20e siècle, avant la construction de l'Hôtel de Ville (AMBC). ![]() L'extérieur de l'ancien marché avant 1956 (AMBC). ![]() A. EULRIET, La gare de Bois-Colombes en 1906 (AMBC) ![]() La gare électrique vers 1903 (AMBC). ![]()
Le marché couvert Les bâtiments ferroviaires La gare Lisch : le long de la même voie, juste après avoir traversé la rue des Bourguignons, on peut apercevoir une gare désaffectée. Ce bâtiment, construit par l'architecte Juste Lisch pour l'exposition universelle de 1878 sur le Champ-de-Mars, a ensuite été transféré à cet emplacement. A partir de 1924, il a servi de gare électrique, puisque la ligne Paris-Argenteuil n'était électrifiée que jusqu'à ce niveau. Après l'électrification de l'ensemble de la ligne, la gare est désaffectée en 1936. En 1985, elle a été inscrite à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques. A l’occasion de la deuxième édition de l’appel à projets « Inventons la Métropole du Grand Paris » (2018-2019), le projet de transformer l’ancienne gare en Cité du voyage et de l’entreprenariat (espace culturel et évènementiel, de coworking et de restauration) a été retenu. Les travaux devraient commencer en 2021. L'église ![]() Le château des Tourelles après 1950 (AMBC). Au sein du parc Franklin-Roosevelt, le château des Tourelles est un beau témoignage du patrimoine architectural bois-colombien du 19e siècle. Cette ancienne demeure privée a été construite en 1893 par les architectes colombiens Albert et Paul Leseine, pour la fabricante de corsets Maria Marcel. Construite dans le style éclectique (mélange d'éléments de différents styles architecturaux), cette demeure bourgeoise présente, à l'intérieur comme à l'extérieur, des éléments architecturaux remarquables (sculptures sur les façades, échauguette, vitraux, mosaïques, cheminées, etc.). Le bâtiment a été acheté en 1928 par la Ville qui a agrandi le parc pour l'ouvrir au public, et installé des services municipaux dans le château avant de le louer à la Sécurité sociale entre 1950 et 2007. Abandonné depuis, le château des Tourelles est en cours de réaménagement et accueillera bientôt un centre d'arts. ![]() |
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AUGUSTE BAIN, LE GÉNIAL INVENTEUR Décembre 2004, avenue Robert-Bain : une ampoule de verre contenant divers documents est retrouvée dans l’un des piliers du portail de l’avenue. La famille Bain - probablement le père - a fait sceller en 1909 ces documents à la suite du décès du fils Robert à l'âge de 13 ans... ![]() ![]() --- Livret de l'exposition « Auguste Bain (1856-1916), itinéraire d'un notable de Bois-Colombes » |
Quelques personnalités bois-colombiennes ![]() D'abord par ceux qui se sont battus pour l'indépendance de la ville, comme Charles Chefson (conseiller municipal du quartier du Bois de Colombes), Emile Loradoux (membre de la commission syndicale pour l'indépendance) ou encore le conseiller municipal François Le Mignon, qui ont tous donné leur nom à des rues de Bois-Colombes. Ensuite par les douze maires qui se sont succédé à la tête de la ville depuis sa création, au nombre desquels on compte Auguste Moreau, tout premier maire de Bois-Colombes, de 1896 à 1904, ou encore Emile Tricon, dont le mandat a été le plus pérenne (1953-1986). D'autres figures ont eu un lien, plus ou moins étroit, avec la ville. C'est le cas d'artistes comme le chansonnier Alexandre Le Bruyant (qui travailla plusieurs années avec Aristide Bruant), l'acteur Abel Jacquin qui vécut dans le quartier sud de 1924 à 1968, ou le peintre Jean-Joseph Weerts (qui habita au tout début du siècle au 47 de la rue Victor-Hugo). Bois-Colombes a également accueilli des scientifiques et des inventeurs, comme Zénobe Gramme (le père de la dynamo, qui vécut rue Mertens de 1877 à 1901) ou Auguste Bain (créateur du rasoir mécanique et de la tondeuse pour cheveux, logeant rue Carnot de 1891 à 1916). Pour en savoir plus : voir le dossier du journal JBC n°88 "Quand Bois-Colombes se distingue" ![]() --- Téléchargement du catalogue de l'exposition "Les artistes et la Grande Guerre" ![]() |
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Informations pratiques et archives en ligne Le service Archives et Patrimoine culturel est ouvert au public du lundi au vendredi de 13h30 à 17h30. L'inscription y est gratuite sur présentation d'une pièce d'identité en cours de validité, et les photographies sans flash des documents y sont autorisées. Contact : Tél. : 01 41 19 83 48 - archivesdoc@bois-colombes.com Le service Archives et Patrimoine culturel conserve uniquement des documents produits à partir de 1896, date officielle de création de la ville. Avant cette date, Bois-Colombes était en effet un quartier de la ville de Colombes : pour toute demande antérieure à 1896, vous pouvez contacter les Archives municipales de Colombes. ![]() --- Les tables décennales de Bois-Colombes sont consultables en ligne jusqu'en 1932 :
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Pour contacter la mairie :
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